Capo: 5th fret
[Intro]
C Bb C C
[Verse 1]
C G
À quinze ans, je rêvais de princes-ses
G C
À quinze ans, qui n'est pas conquérant ?
B Em
J'aurais fait les cent mille proues-ses
B Em
Pour gagner les honneurs de son rang
[Bridge 1]
A Em
Et je me voyais Gavro-che
A Em
Blessé au champ de ba-tail-le
F C
Et à gran-des ta-lo-ches
G C
Chas-ser l'ennemi en pa-gai-lle
[Chorus]
F F Em
Mais j'oubliais ma princes-se
Em Dm
Pour une ber-gère blon-de
Dm G
Qui me soignait de ses caresses
C
À l'abri du canon qui gron-de ah !
[Instrumental]
Am F G
[Verse 2]
C G
À vingt ans, j'étais simp-le soldat...
G C
Amoureux de la fille d'mon adjudant
B Em
Mais de la façon dont il me montrait les dents
B Em
J'ai conclu qu'il n'serait ja-mais mon beau-papa
[Bridge 2]
A Em
Et je me voyais capitai-ne
A Em
Entouré de tas d'adjudants
F C
Qui m'priaient d'accepter l'étren-ne
G C
De leur cadette de vingt ans
[Chorus]
F F Em
Mais j'oubliais la fille de l'adjudant,
Em Dm
Son père et toutes ces baliver-nes
Dm G
Pour devenir le digne prétendant
C
De la Madelon de la ta-ver-ne ah!
[Instrumental]
Am F G
[Verse 3]
C G
Maintenant, je suis prin-ce charmant...
G C
C'est du moins ce que dit ma bergè-re.
B Em
Je n'sais pas ce qui m'attend entre ces murs tout blancs,
B Em
Impatiemment je guette l'infirmiè-re
[Outro]
A Em
Et je me vois déjà grand-père,
A Em
Mes p'tits-enfants sur les ge-noux
F C
En train d'leur raconter mes guer-res,
G G7
Mes amours et mes quatre cents coups...
Dsus2/G C G C
Légendai---ai-res. (mute)
À quinze ans, je rêvais de princesses
À quinze ans, qui n'est pas conquérant ?
J'aurais fait les cent mille prouesses
Pour gagner les honneurs de son rang
Et je me voyais Gavroche, blessé au champ de bataille
Et à grandes taloches, chasser l'ennemi en pagaille
Mais j'oubliais ma princesse pour une bergère blonde
Qui me soignait de ses caresses à l'abri du canon qui gronde
À vingt ans, j'étais simple soldat
Amoureux de la fille d'mon adjudant
Mais de la façon dont il me montrait les dents
J'ai conclu qu'il n'serait jamais mon beau-papa
Et je me voyais capitaine, entouré de tas d'adjudants
Qui me priaient d'accepter l'étrenne de leur cadette de vingt ans
Mais j'oubliais la fille de l'adjudant, son père et toutes ces balivernes
Pour devenir le digne prétendant de la Madelon de la taverne
Maintenant, je suis prince charmant
C'est du moins ce que dit ma bergère
Je ne sais pas ce qui m'attend entre ces murs tout blancs,
Impatiemment je guette l'infirmière et je me vois déjà grand-père
Mes petits-enfants sur les genoux
En train de leur raconter mes guerres
Mes amours et mes quatre cents coups légendaires.
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